Atelier de Chant/2012-13

dimanche 21 avril 2013

Prochaine Repétition

Chères amies et chers amis de l'Atelier de Chant,

Nous sommes invités à chanter le 19 mai 2013, à la Cour du Château, autour de 14h, en précédant la conférence (15h) et le concert du Quatuor Stanislas (16h30), à la Chappelle. 

Notre prochaine répétition sera le 15 mai (après le jour férie du 8 mai), à 19h, comme d'habitude, pour le programme complet (à l'éxception de Ponto dos Tamoios, pas encore prête), pas forcément dans l'ordre d'habitude; on peut varier un peu, par exemple: 
  1. Berimbau
  2. Lavadeira
  3. Fête à l'ombre
  4. Tu sais, je vais t'aimer
  5. Dentelière
  6. La Banda
  7. Zé Pereira
  8. Berimbau (bis)
Détails:

Dimanche 19 mai 2013 – Château de Lunéville
A partir de 14h - Cour du Château: Chants brésiliens par la Chorale du Château (direction Marcos Câmara de Castro)
15h : conférence avec Didier Francfort, Hélio Vida et Marcos Câmara de Castro: « Henrique Oswald, les racines européennes de la musique brésilienne »
16h30 : concert (Chapelle), Quatuor Stanislas et Hélio Vida (piano)

Gabriel Fauré (1845-1924): quatuor à cordes opus 121
Henrique Oswald (1852-1931):   « Il neige » pour piano
Quintette pour piano et cordes

 Henrique Oswald, d’origine suisse par son père et italienne par sa mère, se rendit très jeune en Italie pour y étudier le piano et la composition.  Sa pièce pour piano « Il neige » reçut en 1902 le Premier Prix de composition du Figaro, décerné par un jury où siégeaient notamment Camille Saint-Saëns et Gabriel Fauré.  Retourné au Brésil, il se consacra à l’enseignement et forma plusieurs générations de musiciens de premier plan. 

Bonnes vacances et au 15 mai,

Marcos

Obs.: Pour ceux qui m'ont demandé au sujet de mon quintette créé à la Salle Poirel, le 15 avril, voici les liens. Merci.

mardi 9 avril 2013

Traduction de Ponto dos Tamoios


Voici la traduction expliquée de Ponto dos Tamoios:

Je suis Tamoio
Je suis caboclo
Je suis vénu de Aruanda
Je m'appelle Grajaúna
Je suis guerrier de Umbanda

Tamoio: Le terme tamoio vient du tupi tamuia qui signifie "vieux, ancien". Ce terme s'employait en référence à l'alliance formée, en 1560, par trois caciques tupinambas aguerris et quelques villages d'autres ethnies (Goitacases, Guaianases et Aimorés) avec l'objectif clair de combattre les Portugais (qu'ils appelaient "perós") et les tribus qui les appuyaient, dans le sud-est brésilien du XVIème siècle. Les premiers heurts contre les Portugais dataient de 1554.

Caboclo: Caboclo ou caboco est, au Brésil, le nom par lequel on désigne les métis descendant d'Européens blancs et d'Amérindiens. Ils forment de nos jours la population la plus importante du bassin amazonien.

Aruanda: est le nom donné par l'Umbanda une citadelle de lumière éthérée qui orbite autour de l'ionosphère de la Terre, dans une dimension spirituelle de la transition.
En dépit de l'abondante littérature, Umbanda n'est pas considéré comme une religion codifiée. Pour cette raison, le terme Aruanda peut avoir plusieurs significations, en fonction de la tente, cabane ou un centre spirituel dans lequel il est mentionné. Il est même utilisé par les religions spiritualistes tels que le candomblé et Quimbanda en référence générique au "plan spirituel".
Pour Umbanda traditionnelle (fondée en 1908 par Caboclo des Sept Carrefours), les habitants de travailleurs Aruanda sont des esprits de la bonté et de la charité, sont nouvellement désincarné dans l'apprentissage, sont des esprits de lumière qui ne reviennent plus dans le monde physique par la réincarnation. Ces guides spirituels, en dépit de leur évolution spirituelle, rester dans la dimension de vibration Aruanda de continuer à aider incarnée et désincarnée, qui se manifeste sur Terre sous le couvert de liquide (dans la typologie spirituelle) de noir vieux de caboclos et des enfants. Leurs vraies formes, cependant, dépassent la race, la religion ou l'origine ethnique, et sa manifestation possible dans toute congrégation qui pratique l'amour agape binomiale et d'accepter que la communication spirituelle.
Pour le spiritisme (codifiée par Allan Kardec), Aruanda serait le nom d'une colonie spirituelle, la colonie a comparé Nos foyers, décrit dans le livre Notre maison, André Luiz (l'esprit), psychographiques par le milieu Chico Xavier. En Aruanda, cependant, serait présent magísticos éléments de la culture africaine dans le syncrétisme avec le symbolisme de la culture judéo-chrétienne.
Aruanda tout citadelle spirituelle, est mentionné dans les livres "Tambours de l'Angola" et "Aruanda" - livres de l'esprit Angelo Ignace psychographed par le milieu Pinheiro Robson. Dans les deux cas, la religion de l'Umbanda est situé dans le cadre d'un plus grand spiritualiste panorama (universaliste spiritisme), et expliqué l'importance des rites et des symboles magísticos comme moyens de manipuler les forces élémentaires de la nature.

Grajaúna: en langue Tupi, "l'eau du Seigneur de l'oiseau" ou "Je suis l'homme"

Umbanda: L’umbanda est une religion afro-brésilienne proche du candomblé. Elle est également apparentée à d'autres religions afro-brésiliennes, telles que Batuque, Macumba, Quimbanda, Xambá, Egungun, Ifá, Irmandade, Confraria, Xangô do Nordeste et Tambor de Mina, mais possède cependant sa propre identité.
À la différence du candomblé, pratiqué traditionnellement dans la région de Bahia, l’umbanda est généralement considéré comme originaire de la région de Rio de Janeiro, en particulier sous l'influence d'un medium, Zélio Fernandino de Moraes, qui pratiquait l’umbanda au sein de la population afro-brésilienne pauvre.
L’umbanda comporte de nombreuses branches, dont chacune possède des pratiques et des croyances différentes. Cependant, comme dans le candomblé, les fidèles de la religion umbanda vénèrent les orishas.
Une faculté de Théologie umbandiste exisite à São Paulo dont l'enseignement est reconnu par un diplôme d'État.